UTOPIA BANISHED
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JE M'ABSTIENS Paroles : Barney Greenway Je m'abstiens ! Cela affecte mon orgueil ? Quoi ? L'orgueil derrière vos yeux vacillants ? Votre vigilance est de la merde. " Les gars ensembles " - Vous sombrerez ! Une complaisance suffisante, l'idée de vous réservez le droit de penser avec vos poings, je m'abstiens de cette apathie banale. Engagés dans le " tout pour le bleu, blanc, rouge ", en fait vous vous battez contre ce qui vous affronte vraiment. " Faites grincer ces dents, faites sortir ces poitrails ". Des pleurs seulement pour le drapeau. Toujours le brave patriote alors que vous êtes rétrogradés en seconde classe. Mais vous restez inébranlables ? Les gens ne sont pas des sujets, pourquoi une minorité devrait avoir plus de respect ? Ouvrez les yeux ! L'impérialisme vous bouffe, pas patrons mais patronnés. Ouvrez les yeux ! Ils sont en train de vous façonner , vous êtes piégés avec le " grand apparat ", perdez votre discrétion. Bientôt, vous ne perdrez pas la grâce, endossez leur rhétorique, vous fanez, ils prospèrent. Je m'abstiens ! Ne soyez pas un esclave colonial. N'établissez pas l'acte.
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I ABSTAIN Musique : Jesse Pintado I abstain ! Summon my pride ? What ? Pride behind your blinkered eyes ? Your vigilance is shit. " The lads together " - You'll fall ! Smug complacency, notions of reserving the right to think with your fists, I abstain from this mundane apathy. Committed to " All for red, white and blue ", in effect you're fighting for what's really fighting you. " Grit those teeth, put out those chests ". Tears only for the flag. Always the brave patriot as you slip to second class. But you stand steadfast ? People are not subjects, why should the few get more respect ? Open your eyes ! Imperialism feeds off you, not patrons but patronised. Open your eyes ! They're shaping you, you're trapped with " pomp and circumstance ", lose your discretion. Soon, you'll not fall from grace, endorse their rhetoric, you fade, they prosper. I abstain ! Don't be colonial slave. Don't substantiate the act.
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ACCES A LA DEMENCE Paroles : Shane Embury Une exposition prolongée, dans un monde auquel j'essaie d'appartenir. Auquel j'essaie d'appartenir. Cessation de la personne, sur une grande échelle de dépression. Une sensation déclinante de peur, la peur grandissante, d'une trahison divine me fait me sentir plus bas que terre. Accès à la démence, accès à la démence. Largement réveillé alors que j'attends la réponse, en résistant à être forcé d'accès. Accès à la démence, accès à la démence. Mon immunité s'amoindrit chaque jour, j'espère que le salut soulagera mon dédain.
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DEMENTIA ACCESS Musique : Mitch Harris Prolonged exposure, in a world where I try to belong. I try to belong. Character cessation, on a major scale of depression. Declining sense of fear, a fear that is growing, that some divine treason is making me feel like nothing. Dementia access, dementia access. Wide awake as I await sentence, resisting to be forced access. Dementia access, dementia access. My immunity lessens every day, I hope salvation relieves my disdain.
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LE BAPTEME DES AVEUGLES Paroles : Shane Embury Des espérances innées dans une société ceinturée par la sécurité, la pensée libre est démolie. Des générations d'affrontements de stéréotypes, les valeurs traditionnelles sont abolies. Des protestations des aveugles convertis, mentalement choqués. Leur vision pleine de force s'effarouche de la réalité, finalement bloquée. Leur excédentaire majorité fait pencher le poids de la balance. Des secrets cachés, pêché après pêché dans leurs yeux. Comprendre est désormais trop tard, l'utopie est bannie. La moralité profonde dans laquelle ils ont confiance a amené la mort. La religion, l'amour, la compassion confondent la vérité avec les mensonges. Des traditions à changer ? Accepter l'inévitable ? Forge l'étroitesse d'esprit pour créer un nouveau paradis.
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CHRISTENING OF
THE BLIND Musique : Shane Embury Inbred expectations in a belt of social security, free thought demolished. Generations of stereotypes clash, traditional values abolished. Outcries from the blind converted, mentally shocked. Their forcified vision shies away from reality, finally blocked. Majority overweight turn the scales of balance. Secrets hidden, sin after sin in their eyes. Understanding is now too late, utopia is banished. The very morals trusted in have brought demise. Religion, love, compassion confuse the truth with lies. Traditions to be changed ? Accept the inevitable ? Forge the narrowmindedness to create a new paradise.
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LE MONDE CONTINUE DE TOURNER Paroles : Barney Greenway Aucune direction, ni en avant ni en arrière, nous stagnons dans une impasse. Le cycle de la vie est comme un automate, instinctivement, nous faisons la course pour être en avance ? Et maintenant, nos esprits vierges sont violés, une autre insignifiance pour joindre la course au bifteck. L'indulgence vis-à-vis de nous-mêmes à notre portée. On nous apprend mais on nous arrache (de) la sainteté de la vie, si vulnérable. Le monde continue de tourner - Nous tournons sur nous-mêmes sans contrôle. Prudent, ou cela serait-il imprudent, pas le temps de se poser de questions, préoccupés de persévérer, le monde continue de tourner - Nous saturons d'être trop menés. Des espèces supérieures avec des idées inférieures, nous surchargeons nos corps et nos esprits, respecte cette terre tout en commettant un suicide. Le caractère du poison, nous sommes la cause, pas le remède. Nos méthodes de satisfaction nous perdront sûrement. Prudent, ou cela serait-il imprudent, nos esprits vierges sont violés, le monde continue de tourner - Nous saturons d'être trop menés, nous tournons sur nous-mêmes sans contrôle, nous stagnons dans une impasse.
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THE WORLD KEEPS TURNING Musique : Jesse Pintado No way, forward or back, in stalemate, we stagnate. Life cycle is an automation, instinctively, we race to get ahead ? And now, our virgin minds are raped, another insignificance to join the rat-race. Self indulgence within our grasp. We're taught but torn (from) the sanctity of life, so vulnerable. The world keeps turning - We spin out of control. Guided, or could this mean misguided, no time for questions, preoccupied with pressing on, the world keeps turning - We overdose on overdrive. Superior species with inferior ideas, we overload our bodies and minds, respect this earth while committing suicide. Poison trait, we're the cause not the cure. Our methods of fulfilment will surely drag us down. Guided, or could this mean misguided, our virgin minds are raped, the world keeps turning - We overdose on overdrive, we spin out of control, in stalemate, we stagnate.
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IDIOSYNCRASIE Paroles : Barney Greenway Ne pas manquer de perspicacité ni d'impulsion pour crier derrière les idées que les réformes amèneront en nous. Nous sommes si semblables pourtant, alors que j'essaie de me rapprocher de toi, l'incohérence relève sa tête laide. A propos de l'intégration ? Tu fais le maximum pour la décourager. L'envie, l'amertume, la jalousie. Des émotions symboliques - on n'en a pas besoin. J'essaie si difficilement d'exposer mon cas pourtant, alors que j'essaie de me rapprocher de toi, l'incohérence relève sa tête laide. Aies recours à la calomnie - tu me mène plus loin. La rupture d'une foi minuscule - Mes efforts gâchés ! ! C'est ton indifférence, pas la mienne, qui me met sur un piédestal. Puis après le fait, tu t'oppose à moi à cause d'un manque de soutien. Si tes buts sont de nous attirer la condamnation, le goût amer que j'avais renforce désormais ma résolution pour m'élever au dessus de ça.
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IDIOSYNCRATIC Musique : Shane Embury, Jesse Pintado Not lacking insight or impetus to shout behind ideas that reforms in us will bring about. (As) parallels we run so close yet as I try to draw to you, incoherence rears its ugly head. Of integration ? You do your utmost to discourage it. Envy, resentment, jealousy. Token emotions - there is no need. I try so hard to state my case yet as I try to draw to you, incoherence rears its ugly head. Resort to slander - you drive me further away. Breakdown of minuscule faith - My wasted efforts ! ! It's your indifference, not mine, that puts me on a pedestal. Then after the fact, you oppose me for a lack of support. If your aims are to attract us condemnation, the bitter taste I had now strengthens my resolve to rise above.
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LES ARIANISMES Paroles : Barney Greenway Mets à ton compte le fait d'être un modèle exemplaire, une image que tu perçois. Tu devrais diriger les coutumes, pour former un mouvement d'idiots entichés d'eux-mêmes. Garder le " chacun pour soi ", où les liens sociaux sont tabous. Il est bien d'être un clone dans ton interprétation d'un monde parfait, où tout désir de s'associer est perçu comme une maladie contagieuse. Garder le " chacun pour soi ", où les liens sociaux sont tabous. Provoque de sordides réactions pour purifier ! Ta distinction menacée ? - Absurde ! ! Tu mène des campagnes répugnantes pour prouver un point - le besoin de se diviser. Comment la pensée de relations illimitées peut elle faire naître tant de haine ? - Paria ! ! Prends ton pied à travers la persécution, utilisée comme bouc émissaire à tes doutes extérieurs, exposant ta faiblesse - attardé, indigne. Je ne peux comprendre une seule seconde comment tu manifeste tant de honte avec vigueur - Homophobe, antagoniste de races. L'harmonie ne peut fleurir qu'avec un regard mutuel.
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ARYANISMS Musique : Shane Embury, Mitch Harris Put it on yourself to be a role model, an image that you feel. Should guide the habits, to form a movement of self-infatuated fools. Keeping " each to their own ", where social bonding is taboo. It is nice to be a clone in your interpretation of a perfect world, where all desire to consort is perceived as contagious disease. Keeping " each to their own ", where social bonding is taboo. Challenge the sordid claims to purify ! Your distinction threatened ? - Absurd ! ! You wage crusades of loathing to prove a point - the need for divide. How can the thought of unbounded relations kindle so much hate ? - Outcast ! ! Get your kicks through persecution, used as scapegoats for your exterior doubts, exposing weakness - retarded, unworthy. I cannot begin to comprehend how you wear such shame with vigour - Homophobic race antagonist. Harmony can only flourish with mutual regard.
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LA CAUSE
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CAUSE AND EFFECT (part 2) Musique : Jesse Pintado Reproach envelopes me. A hierarchy through violence - street society. Street society. I voice my contempt. Convinced of my immunity. Yet on a smaller scale, in my conflicted world, my resistance is stretched. You sense and provoke. You mock and degrade my friends and aims, tempting drastic actions - baiting me. My shame turning, turning to rage. Twisting the knot inside, the final strains of restraint discharged. Acceleration of loathing, driving my physical force. The shameful act, the feelings of angst, I considered myself incapable. Lay blame with me for the " bastard " that I am, (you're) too stupid to understand the scars your cruel words inflict.
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LA GLAIRE JURIDIQUE Paroles : Shane Embury Goûte moi, tu m'as fait tel que je suis, un bon à rien à l'esprit pollué qui n'a qu'à aller se faire foutre. Suis-je le festin mental, couvert de bleus et effrayés, l'opprimé. Un pion à l'intérieur d'un jeu de perdants, ma force grandira sur ta peur. Sale merde, dans quelques temps, tu feras face à ta fin. Ne me juge pas avant toi même. Elève, prends mon orgueil - C'est tout ce que tu peux faire. Des poussées de haine m'enflamment. Nourris, quelle expiation cherche tu ? Ta connaissance chancelante de la loyauté se brise comme de fragiles os. Un passé oublié, je reste condamné, car je suis plus puissant que tu ne pourrais l'imaginer.
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JUDICIAL SLIME Musique : Shane Embury Taste me, you made me what I am, mind polluting worthless fuck. Am I the mental feast, bruised and scarred, the underdog. A pawn within a losers game, my strength will grow upon your fear. Slime, in time you'll face your end line. Judge me not before yourself. Breed, take my pride - That's all you can. Hatred surges burning me. Feed, for what atonement do you seek ? Your dying grasp of loyalty breaks like brittle bones. Forgotten past, I stand condemned, for I am more powerful than you'd imagine.
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DEFORMER LE MOYEN D'EXPRESSION Paroles : Barney Greenway L'icône de la jeunesse présupposée et saturée, les façons et les buts d'arriver à ses fins, les incartades de certains qui nous résignent de sollicitations libres, en faisant face au bombardement - Pas d'échappatoire ! Soyez fidèles à vos intentions ! Une parade de marionnettes maladivement douces - Vous puez la vulgarité ! Sacrifiez vos facultés, tout ce à quoi vous êtes parvenus est une scène synthétique. La prochaine étape est de gagner l'approbation de ceux qui feignent d'ignorer, ceux qui reconnaissent la charade. Pour fabriquer des alternatives censées être précieuses en phase avec la façade régulière. Acquérez la reconnaissance par des actions bidons, maladivement douces - Vous puez la vulgarité ! Sacrifiez vos facultés, tout ce à quoi vous êtes parvenus, ce sont des scènes synthétiques. Tombez dans les clichés, une légende dans votre propre cerveau. Sectaires, motivés seulement par le prestige. Un masque pour votre imperfection. en se pré modelant à ce qu'on exige pour une commercialisation adroite. Censurés pour subversion. Une machine redondante. Ne les laissez pas moisir votre identité.
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DISTORTING THE MEDIUM Musique : Jesse Pintado Saturating, pre-assuming icon of the youth, ways and means to call the shots, fingers in the pies which resign us from vacant urges, facing the bombardment - No escape ! Stick your intentions ! Parade of puppets sickly sweet - You stink of vulgarity ! Sacrifice the faculties, all you've achieved is synthetic scenes. Next step is to gain approval from those ignore, those who recognise the charade. To fabricate alternatives designed to be expensive in hand with the regular facade. Acquire acclaim with plastic actions, sickly sweet - You stink of vulgarity ! Sacrifice the faculties, all you've achieved is synthetic scenes. Fit into the cliche, a legend in your own brain. Bigoted, motivated only for prestige. A mask for your inadequacy. preshaping to what's required for slick commerciality. Censored for subversion. Redundant machine. Don't let them mould your identity.
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DU TEMPS A TUER Paroles : Barney Greenway Parfois je me vautre, d'une certaine façon, quelque part entre un état de bonnes intentions et un état pathétique - Pas d'inquiétudes ! ! J'ai du temps à tuer ! Porte mon cur meurtri sur une pochette délicate, l'esprit est là mais l'ardeur est faible - Il est temps de s'inquiéter ! ! Quand le temps est un souci mortel. La présomption, une supposition. La Rédemption - Irrésolue. Continuer sur la persévérance des autres avec une idéologie passive. Je suis le maillon d'une chaîne de force. La fatigue interne destructrice ronge notre efficacité. Je dois me speeder, au lieu de me soustraire à l'activité. J'ai le temps de supprimer mon souci ! !
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GOT TIME TO KILL Musique : Shane Embury Sometimes I wallow, in an air, somewhere between a state of good intention and pathos - No worries ! ! I've got time to kill ! Wear my bleeding heart on a discerning sleeve, the mind is there but the spirit's weak - Time to worry ! ! When the time is killing concern. Presumption, an assumption. Redemption - Unsolved. Riding on the perseverance of others with armchair ideology. I'm a link in a chain of strength. Destructive inner fatigue corroding our effectiveness. Got to kick myself into gear, instead of shirking from activity. I've got time to kill my concern ! !
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EN ASCENSION ET INDIFFERENT Paroles : Barney Greenway Devoir tout saisir avidement pendant que tu peux - Une perversion ! Autrefois tu as eu le culot de faire monter les cours, en te mouvant dans des cercles communs, (là) où les cercles signifiaient les liens humains. Le courant s'est inversé, la fidélité a été testée. En ascension et indifférent. Au préalable, intransigeant et fort, la prospérité ne pouvait pas se transformer. Renifle la drogue, rassemble les avantages, marche sur la tête de celui qui se noie. Le courant s'est inversé, la fidélité a été testée. En ascension et indifférent. Salué en sauveur car l'entreprise réussit, ton obsession outrepasse ses droits. Là où au début, tu te battais pour arrêter d'être entouré de pièges, maintenant tu te pose comme un appât. Fais de la spéculation, capitalise. Des mots qui se déforment pour contribuer à un génocide financier. Des idéaux pour le commerce, le respect investi. En ascension et indifférent. Devoir tout saisir avidement pendant que tu peux - Une perversion !
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UPWARD AND UNINTERESTED Musique : Jesse Pintado, Mitch Harris Got to grab all while you can - A perversion ! Once you had the gall to even up the score, moving in common circles, where the circles stood for human bonds. The tide has turned, allegiance tested. Upward and uninterested. Beforehand, adamant and strong, prosperity could not transform. Snort the drug, gather the assets, step on the head of the drowning man. The tide has turned, allegiance tested. Upward and uninterested. Hailed as a saviour as enterprise succeeds, your obsession overrides. Where once you fought to stop the trap enclosing, now you lay the bait. Speculate, capitalise. Words that distort to promote financial genocide. Ideals for trade, respect invested. Upward and uninterested. Got to grab all while you can - A perversion !
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LE BANNISSEMENT Paroles : Shane Embury Mis en avant, promus, justifié ? Peut être pas garanti. Le transfert d'argent rassurant en fournissant des morceaux, le profil des médias - Avons-nous besoin d'erreurs ? Je ne pense pas ! Les maisons de disque se font des tunes en construisant des machines du rock. Un esprit ouvert, les yeux aveugles. Une critique vis-à-vis des masses - ou vis-à-vis d'eux-mêmes ? Progression ou procession ? Est-ce que les opinions comptent ou est-ce qu'elles se fabriquent ? Les monceaux de merde (avec lesquels) la presse alternative nous charme. L'élite de la critique - mal informée. Aucune erreur ne peut être commise, dépendant de la mode qui à terme sera démodée. Un bannissement encore valable, à contrecur, nous montrons trop d'indulgence envers leur battage publicitaire de bon goût.
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EXILE Musique : Mitch Harris Pushed, promoted, justified ? Perhaps not guaranteed. Reassuring cash transfer providing leads, media profile - Fallacies we need ? I think not ! Labels breed the money making rock machines. Broadening mind, eyes blind. Criticism for the masses - or for themselves ? Progression or procession ? Do opinions count or do they mount ? The piles of shit (that the) alternative press delights us with. Critique elite - ill informed. No wrong can be done, depending on the trend at times to be untrendy. Unexpired exile, reluctantly we all indulge their tasteful hype.
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PRENDS CONSCIENCE (d'une vie misérable) Paroles : Shane Embury La pensée entraînée à réussir. A partir de maintenant, la douleur commence. Nous sommes des larves, jetées dans une mer de combats - des appâts pour le gros poisson. Rampe, toujours en train de ramper. La foi ne détient pas la sagesse. Affamés - ils sucent avidement ta volonté pour argumenter encore plus. Une croyance dans quelque chose de meilleur, les espoirs opprimés subsistent toujours, les visages endurent la même peur superficielle de la prospérité oubliée. Les pouvoirs changent. La promesse d'une récompense, des déclarations fausses et injustes apprivoisent l'insécurité. Une notion rêveuse selon laquelle la vie s'adoucit, amortissant le souffle de la réalité menaçante. Le manque d'ambition nous flagelle - Prends en conscience !
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AWAKE (to a life of misery) Musique : Mitch Harris Thought trained to succeed. From here on the pain begins. We're maggots, cast in a sea of struggle - bait for the big fish. Crawl, forever crawling. Faith holds no answers. Ravenous - they greedily suck away your will to even argue. A belief in something better, downtrodden hopes still linger, faces bear the same shallow fear of forgotten prosperity. Powers change. The promise of reward, declarations false and injust tame insecurity. A dreamlike notion that life eases by, cushioning the blow of impending reality. Aimlessness is flogging us - Awake ! !
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MEPRISANT Paroles : Shane Embury La tristesse, le désespoir, parfois les choses que je chéris, parfois c'est tout ce que je possède, et c'est assez. L'amertume, la colère. L'Homme a créé la torture pour ne pas qu'elle soit partagée.
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CONTEMPTUOUS Musique : S. Embury, M. Harris, J. Pintado Sadness, despair, sometimes the things I cherish, sometimes that's all I've got, and that's enough. Bitterness, anger. Man made torture, not to be shared.
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