WORDS FROM THE EXIT WOUND


Chronique officielle d'Earache Records
Source : Internet

NAPALM DEATH LANCE SON NOUVEL ALBUM AUX USA - LE 09 MARS 1999

Nous sommes très heureux de vous annoncer la sortie de "Words from the exit wound", l'album de Napalm Death acclamé par la critique, chez le distributeur Caroline le 9 mars. Cet album a longtemps été attendu aux Etats Unis, et en guise de bonus, Napalm a confirmé une série de dates live aux USA.

Après avoir été à la pointe de la musique extrême pendant près de dix ans, Napalm Death a tout et rien à prouver. Après avoir vendu facilement plus d'un million d'albums dans le monde entier, avoir tourné de long en large de la planète, et s'être fermement établi comme une référence par laquelle tout ce qui est extrême est jugé, ils peuvent se satisfaire de leur statut légendaire et confortable. Attendre cela de Napalm Death est insuffisant. Ils ont toujours de nouvelles avenues à explorer, de nouveaux buts à atteindre et de meilleurs sons à créer. C'est la raison pour laquelle chaque nouveau disque les a vu atteindre de nouveaux sommets au niveau de l'écriture et de la composition tout en laissant un pied fermement ancré dans leurs racines sans compromis. En créant quelque chose de brutal tout en étant accessible, le groupe a souvent essayer de faire plaisir aux anciens tout comme aux nouveaux fans. Avec "Words from the exit wound", ils ont abandonné l'idée de vouloir faire plaisir à tout le monde tout le temps. Au lieu de ça, en se faisant tout d'abord plaisir à eux-mêmes, ils ont fait un disque de Napalm Death génial. Pour toute sa furie et sa puissance, il est aussi accessible qu'avant, prouvant qu'ils peuvent écrire, jouer et être progressifs sans perdre une once d'intégrité. Il y a de petites touches de progression ici et là, notables surtout lorsque le vocaliste Barney utilise des vocaux clairs avant de retourner vers le rugissement traditionnel. Les sujets des textes s'étendent bien au-delà de n'importe quel monde fantasmatique insensé, préférant au contraire se concentrer sur le monde réel, offrant des arguments, des suggestions, des commentaires sur le monde déplaisant qui nous entoure. "Next of kin to chaos", "Thrown down a rope" et "Cleanse impure" pourraient figurer parmi les meilleurs airs que le groupe a écrit au cours des années, mais le fait que le groupe continue de produire régulièrement de superbes disques vous dit tout ce que vous avez besoin de savoir. Ayant été là, l'ayant fait et après avoir acheté le T-shirt, Napalm Death continue d'assurer - mieux que quiconque d'autre.

"Du métal de grande volée, aussi hard et aussi heavy que ce que vous aimez, lançant violemment ses avertissements poignants avec une sévère intention"
9/10 - Metal Hammer

"Sur "Words...", le groupe continue de forger leur son dans de nouveaux domaines inexplorés, mais ils ont réussi à assimiler leur expérimentation avec ce qu'ils ont toujours fait d'une bien meilleure manière, parce qu'à la fin de l'album, vous êtes convaincu que vous avez tenu douze rounds avec les dieux déchaînés du grind"
8/10 - Terrorizer


Dom Lawnson / site internet THE LAMCAT

Figurant en permanence parmi mes artistes favoris depuis une dizaine d'années, Napalm Death fait partie des rares groupes dont j'attends le nouvel album avec une excitation pure digne d'un adolescent. Jusque récemment, mon album préféré était assurément "From Enslavement To Obliteration", comportant le line-up que beaucoup de gens considèrent comme la formation définitive de Napalm. Et bien, à en juger par ce nouvel album, le statut légendaire de ce line-up pourrait être relégué au rang de détail dans l'histoire du groupe, parce que "Words From The Exit Wound" est le meilleur album que Napalm Death ait jamais réalisé.

Depuis l'étape courageuse de "Fear, Emptiness, Despair", Napalm Death a redéfini son son et s'est transformé en un mastodonte du métal dévastateur, administrant un matériel redoutable à l'encontre de ses détracteurs et se forgeant une vision musicale unique au cours de ce processus. Personne d'autre ne sonne comme eux en 1998 et il est énormément satisfaisant de voir que les gars font preuve d'une assurance et d'une créativité exubérante tout au long de ces douze morceaux.

Alors que "Diatribes" et "Inside The Torn Apart" contenaient chacun un ou deux morceaux de remplissage, "Words..." ne renferme que des trucs de qualité. Par dessus tout, Shane et ses potes ont fait tellement de chemin au niveau de la composition que, cette fois-ci, ils reviennent avec du matériel vraiment inspiré.

Démarrant avec "The Infiltraitor", il devient tout de suite clair que, sans perdre une once de lourdeur ni de férocité, on a affaire à un Napalm Death plus maigre et plus agile. Les riffs grind tonitruants sont toujours aussi présents qu'avant, mais il est évident que tout a été fait pour rendre ces chansons plus accessibles, ou du moins plus en phase avec la demande du public métal des années 90. Précédemment, des morceaux glorieux tels que "Greed Killing" ou "Breed To Breathe" ont suggéré le développement du sens de la dynamique et du groove chez le groupe, mais rien n'aurait pu vous préparer à ce que vous avez là. Pour la première fois depuis un bon paquet de temps, choisir des moments forts est tout bonnement impossible, mais dans la mesure où je suis quelqu'un de plutôt généreux, je vais quand même vous en donner. Pour les débutants, "Next Of Kin To Chaos" est un single évident, avec ses nombreux enchaînements irrésistibles et ses paroles poignantes et puissantes (un autre domaine où le groupe s'est formidablement amélioré). "Ulterior Exterior" est un morceau de deux minutes d'une violence stupéfiante et qui comporte plusieurs des meilleurs riffs que Shane a écrit jusqu'à présent. "None The Wiser ?" est sans conteste la chanson la plus mélodique de Napalm à ce jour, et néanmoins une des plus intenses, et cela est surtout du à l'utilisation épatante de vocaux clairs (! !). Barney n'a jamais utilisé cet aspect de sa voix, mais en dépit de tous mes instincts, je ne peux m'empêcher d'espérer qu'il réitère cette expérience. Un développement purement surprenant, et fort bienvenu. La meilleure d'entre toutes les chansons - et ce n'est pas un mince exploit pour un album aussi bon -, c'est "Cleanse Impure", un tour de force pour le batteur Danny Herrera et une preuve positive qu'à l'heure actuelle, peu de groupes extrêmes arrivent au même niveau créatif que Napalm Death. Absolument brillant.

Certains albums remplissent leur tache très correctement sans pour autant vous donner des frissons à vous faire dresser les cheveux sur la tête. Napalm Death a sorti plusieurs albums de ce genre ces derniers temps, et malgré de nombreux morceaux mémorables à droite à gauche, il leur aura fallu attendre jusqu'à aujourd'hui avant de vraiment provoquer ce type de manifestation particulière que seuls les groupes légendaires provoquent. C'est donc un triomphe impeccable et un avertissement à ceux qui ont moins de talent : Napalm Death est au sommet de sa forme. Saluons tous les maîtres du grind !


Nicolas Radiguet / HARD ROCK MAG / Décembre 1998

Napalm Death n'aura pas traîné pour enregistrer cet album : à peine revenus de tournée qu'ils se remettaient au travail. Cette précipitation pourrait inquiéter mais, heureusement, cette appréhension se révèle sans fondement. Au contraire, Napalm Death nous revient en très grande forme et sans se répéter. Inside The Torn Apart était un bon album mais on sentait qu'il avait été enregistré dans un période délicate. Words From The Exit Wound nous montre un groupe heureux de jouer qui n'est pas prêt de s'assagir. Certes, Barney ne se contente plus d'aboyer, il place mieux sa voix et se permet, sur quelques rares passages, un chant clair, mais ce nouvel album est tout aussi fougueux que les précédents, voire plus violent que Inside The Torn Apart car plus direct. En gagnant en simplicité et en ne cherchant pas systématiquement l'angle groovy, les morceaux sont caractérisés par une attaque renforcée, d'autant plus que leur exécution est d'une parfaite clarté. Du très grand Napalm Death.


Frank Arnaud / HARD FORCE / Décembre 1998

Apparemment toujours aussi inspiré, NAPALM DEATH est déjà de retour avec un album studio flambant neuf (n'oublions pas qu'un live est sorti cet été). NAPALM DEATH, c'est un peu comme le bon vin. Chaque année, l'élixir musical se bonifie et nous offre une rasade d'un grind / death metal particulièrement intense. Colin Richardson est fidèle à sa production légendaire et ne se prive pas de gratifier "Words From The Exit Wound" d'un son gigantesque ! Les bases musicales ne changent guère, bien que nous puissions noter une maîtrise magistrales des changements de rythme et autres contretemps... Les riffs découpent, la batterie concasse, la basse explose ! La routine quoi... Pas tout à fait d'ailleurs, car "Words From The Exit Wound" marque une révolution pour NAPALM DEATH sur le plan vocal ! Et oui, le mot n'est pas trop fort. Barney éructe la plupart du temps comme un géant des collines, mais il arrive désormais à glisser quelques séquences mélodiques sur certains morceaux, comme l'impressionnant "None The Wiser ?". Une bonne réponse à tous ceux qui croyaient que le gang de Birmingham se fossilisait. Un album de choix pour tout fan de death qui se respecte.

Classement : le pouce levé (= BON)


Frank Frejnik / ROCK SOUND / Novembre 1998

Comme le disent déjà certains fans, chaque nouveau disque des anglais n'a de nouveau que la pochette. Il est loin le temps où Shane Embury et les siens balançaient 54 titres d'une violence condensée jamais entendue à ce jour. Les choses ont changé. Napalm Death a désormais trouvé ses marques. Tout en restant extrême, il s'est néanmoins enfermé dans son style si spécial, si reconnaissable. Ca démarre à cent à l'heure et ça se termine aussi à cent à l'heure. "Words From The Exit Wound" est une nouvelle fois une grosse bousculade des neurones, un disque avant tout bruyant, expéditif et sauvage. On notera tout de même quelques essais, peu concluants il est rai, de Barney à faire évoluer ses légendaires vocalises gutturales vers un chant quelque fois empreint de certaines mélodies ("None The Wiser ?") ou d'un semblant air musical susceptible d'être repris plus tard sous la douche ("Devouring Depraved"). Mais ce ne sont que des bribes. Napalm Death fonce tête baissée, la rythmique droite comme un pic, les guitares en parfaite harmonie, très peu de solos (parce que bon, on a une réputation à défendre) et ce chant d'opéra version Mad Max. "Words From The Exit Wound" ne déçoit finalement pas. Il a les défauts et les avantages d'un disque de Napalm Death. Mais qu'attendons nous de ce pionnier de l'extrême, si ce n'est qu'il nous donne à chaque livraison ces salves libératrices et jouissives qui exorcisent notre violence intérieure. Une heure de Napalm Death, et nous voilà vidés de toutes nos pensées négatives, de nos sauts d'humeur pestifs, de nos pulsions maniaco-dépressives... Et si Napalm Death étaitle meilleur des traitements psychologiques ?

Classement : 3 smile sur 5


Olivier Badin / HARD'N'HEAVY / Octobre 1998

Napalm Death nous refait le coup du nouvel album qui n'a de nouveau que la pochette. Et nous, fans dociles, nous marchons dans la combine.
Quand la recette est bonne, pourquoi la changer ? Malgré toutes ces capacités, Napalm Death a toujours manqué d'une certaine vivacité d'esprit, Certes, la cacophonie jouissive de l'irremplaçable Scum est bien loin et jusqu'à maintenant, chaque petit nouveau-né de la famille Napalm apportait sa (petite) dose de nouveauté. Ps grand-chose, juste ce qu'il fallait pour ne pas trop brusquer les habitués et suffisamment pour pouvoir répondre à ses détracteurs. Or, malgré tout le respect qu'on lui doit, force est de constater que la machine de Birmingham est en train de s'enrayer. A quelques micro-détails près, uniquement détectables par les fanatiques, ce Words From The Exit Wound est le frère jumeau de Inside The Torn Apart sorti l'année dernière. Salves typiquement Napalmiennes ("The Infiltraitor") y côtoient quelques morceaux de bravoures aux consonances industrielles ("Incendiary Incoming" et "None The Wiser ?"). Shane Embury écoute visiblement toujours autant la scène hardcore américaine, Earth Crisis en tête, et Barney s'est même essayé à quelques tirades 'chantées' pas toujours très réussies mais qui, ironiquement, rappellent le ton enroué de son prédécesseur Lee Dorrian. On en vient donc à se demander si Napalm Death n'aurait pas tiré toutes ses munitions. Attention au retour de bâton...

Classement : 3 étoiles sur 5


Piers Martin / NEW MUSICAL EXPRESS / 1998
Intitulée "Le Métal N'existe Plus"

Ash joue du rock. Marilyn Manson, c'est concevable, joue du rock. Terrorvision, bénis soient-ils, jouent de la pop. Et Napalm Death ? 'De la musique extrême'. Car des entrailles noires comme le goudron de Black Sabbath et Deep Purple a déferlé une force si puissante et si brûlante que le métal, sans parler de son côté heavy, n'aurait jamais pu être transcendé, même vingt ans après. Mais, en tant que concept, le métal est pur et frais comme le printemps.

Franchement, cela a largement profité à Napalm Death, Car cette équipe née à Birmingham se situe au-delà du métal. Leur musique, qu'ils ont eux-mêmes qualifié d'extrême - des riffs à taillader un pneu, une batterie qui matraque et qui rosse, et les hurlements passés à la râpe à fromage de Mark 'Barney' Greenway - s'est peu à peu aiguisée au cours de leurs dix albums (dont ils ont vendu un millions d'exemplaires) jusqu'à atteindre une perfection si vivifiante que les accuser d'être myopes sur leurs perspectives musicales reviendrait à concéder une défaite immédiate.

L'essence de Napalm Death n'est pas rare mais raffinée. "Words..." est un blizzard de bruit, de guitares trempées dans l'acier et de grognements indéchiffrables ; En deux mots, impénétrable et impoli, mais qui se suffit à lui-même. Ils connaissent le sujet mieux que personne, alors laissez les faire. "Cleanse Impure" et "None The Wiser ?" renferment des mélodies... les fainéants !

Metal dans l'esprit, dingue en pratique.
(web : le jeu de mot anglais disparaît : metal in spirit, mental in practice)

Classement : 6/10


Fanzine INNATE / 1998

L'ambiance est au mieux chez les Napalm, qui s'en plaindra ? Le groupe revient à certaines caractéristiques un peu oubliées ces derniers temps... c'est à dire la lamination cérébrale ! Dieu que cela fait du bien ! Parallèlement à cela, Barney (hurleur en chef) se permet quelques innovations en voix claire et c'est aussi étonnant que mortel. Jetez-vous dessus !


Fanzine TRANSIT / 1998

Tous les scatopodes auteurs et les fans de la période "Fear, Emptiness, Despair" vont hurler de joie : le dernier Napalm Death est une grosse merde. Et je pèse mes mots (Web : c'est ce que tu crois, bouffon !). Après l'extraordinaire album susnommé, la mutation pointait tranquillement mais sûrement le bout de son nez avec le néanmoins excellent "Diatribes", pour se terminer avec le médiocre "Inside The Torn Apart". Et là ; la mort au napalm fait montre d'un incroyable manque de lucidité et d'un manque d'inventivité aberrant. Eh les mecs, ce n'est pas en rajoutant plein de passages grind que vous allez ressusciter la gloire d'antan ! D'autant plus, les passages chantés (oui, chantés et pas grognés) sont très mal utilisés et se voient mériter le label 'faute de goût'. Ajoutons aussi que quand un morceau comme ''Remain Nameless'' était joué de traviole, ce n'état pas bien grave tellement le son dégueulait et tellement le résultat était intense, profond, brut et puissant. Mais quand on fait du groovy sans qu'aucun coup de caisse claire ne soit en place, il serait temps de se remettre en question. Cette fois, Napalm Death a sérieusement loupé le coche ; prions pour que Mitch Harris se casse et reforme Meathook Seed !

WEB : Je vous laisse apprécier la valeur de cette chronique. Tout d'abord, ce pseudo-journaliste a une vision restreinte de ND. Il ne semble avoir accroché qu'à partir de F,E,D - qui est un très bon album ; mais Napalm existait bien avant ça et avait déjà un lourd passé musical derrière lui. Et en plus, sa prise de position est si partiale qu'il en devient ridicule. Qu'il ne comprenne rien à leur musique et qu'il n'aime pas INTRINSEQUEMENT ce qu'est Napalm Death, ça, c'est son problème. Mais qu'il répande ses idées préconçues et déplacées auprès de personnes qui ne connaissent pas encore le groupe et qui seraient susceptibles de l'apprécier est indigne d'un travail de journaliste.

Au fait, l'interview qui est consacrée à Napalm dans ce mag est désastreuse (cliquez ici pour la lire). Le pire est qu'il faisait la promo de leur canard en partie grâce à cette interview. Et, comble du comble, j'ai mis trois mois avant de recevoir ce torchon - après avoir réclamé des nouvelles de leur part ; ils semblaient m'avoir complètement oublié ! Bon, je ne m'étendrais pas plus longtemps sur ce sujet sinon je risque de tomber dans le côté obscur de la connerie, rejoignant ainsi ces minables de Transit Mag. Vous savez ce qu'il vous reste à faire : Boycottez moi ça !!


Noah Wane / site Internet Splendid-e-zine

Avec la sortie de "Words From The Exit Wound" de Napalm Death, les métalleux américains vont finalement pouvoir entendre ce que leurs homologues européens apprécient depuis un bail. Cet album, jusqu'alors indisponible aux States, nous présente la légende de la musique extrême sous un jour plus incendiaire que jamais. Des riffs féroces de guitare rentrent en collision avec des rythmes du tonnerre, fournissant un complément parfait aux grognements du vocaliste Barney Greenway. Des chansons comme "The Infiltraitor", "Repression Out Of Uniform" et "Devouring Depraved" vous percutent telle un poids lourds vous fonçant dessus puis reculant subitement pour vous repasser dessus une deuxième fois ! Je ne vois pas comment un fan de métal pourrait rester indifférent à "Words From The Exit Wound". Certains gourous ont clamé que Napalm Death avait perdu de sa personnalité ces toutes dernières années. Je ne connais pas suffisamment leurs récents albums pour vous débiter un discours digne des meilleurs représentants de commerce ; je ne peux que constater que "Words..." contient des compos plutôt convaincantes. Napalm Death fait quelques écarts par rapport à la tradition, comme sur certains refrains où Barney chante sans grogner. On sent que les chansons possèdent une certaine accessibilité qui était un peu absente sur les disques antérieurs - pas dans le sens où ils se seraient "vendus" mais plutôt comme un "retour aux sources" qui serait varié. En fin de compte, "Words From The Exit Wound" est un disque de rock destructeur, pur et brut, et c'est ce que chacun d'entre nous attend, n'est-ce pas ?


WEB : Vous en voulez encore ? Il me reste une chronique mais elle est en italien ! Inutile de vous dire que je suis incapable de la traduire. Ceci dit, elle prend une page et semble dithyrambique. "Words From The Exit Wound" avait été élu album du mois dans ce fanzine - qui est d'ailleurs plus proche du magazine tant son approche est professionnelle. Si vous parlez italien et que vous êtes motivé pour me filer un coup de main, vous savez ce qu'il vous reste à faire ! Contactez-moi !


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